Description

La permission de devenir bizarre est accordée avec Vanilla Fudge. Créé au plus fort de l’expérimentation chimique, musicale et sociale, le premier album éponyme du groupe vise une expansion sonore et mentale via des moyens psychédéliques. Composé principalement de reprises d’œuvres alors modernes des Beatles, Supremes, Curtis Mayfield et d’autres, l’album transforme le banal en excursions originales et inexplorées qui mènent à des dimensions colorées. Plus de 50 ans après sa sortie originale, les arrangements symphoniques sonnent désormais plus ambitieux, directs, fascinants et influents que jamais grâce à une restauration mono supérieure.

Masterisé à partir des bandes originales, pressé sur du vinyle haut de gamme chez RTI et limité à 3000 exemplaires numérotés, le vinyle 2LP mono 45 tours de 180g de Mobile Fidelity dévoile les fondements baroques, les harmonies magnifiques, l’âme grinçante et les riffs d’orgue qui aident à rendre la musique du quatuor inimitablement unique. Le timing des tempos décalés et des mouvements d’improvisation imprévisibles est également projeté dans une lumière non polluée, avec l’ombrage expert et la tonalité délibérée du collectif émergeant comme des composants majeurs des chansons.

Développant un son qui a précédé le prog-rock et le métal de plusieurs années, Vanilla Fudge a été cité par les membres de Deep Purple, Yes et Chicago comme une source d’inspiration clé. Et nul autre que John Bonham de Led Zeppelin a cité Appice pour avoir imaginé une nouvelle approche sur l’album. Dans une interview de fin de carrière avec le magazine Goldmine, ce dernier explique: ‘J’ai créé ce nouveau style de batterie power rock par nécessité. Il n’y avait pas de vrais amplificateurs à l’époque, pas de systèmes de sonorisation. Je devais le faire.’

-★- TRACKLIST -★-

1. Ticket to Ride
2. People Get Ready
3. She’s Not There
4. Bang Bang
5. Illusions of My Childhood – Part One
6. You Keep Me Hanging On
7. Illusions of My Childhood – Part Two
8. Take Me for a Little While
9. Illusions of My Childhood – Part Three
10. Eleanor Rigby